Introduit par Komatsu en 2013, la première génération de commande de machine entièrement intégrée, a marqué une étape importante dans l'aide apportée aux clients pour augmenter leur productivité et leur efficacité. Cette technologie révolutionnaire fut d'abord lancée sur les bulldozers, puis, l'année après, sur les pelles.
Une décennie plus tard, on compte plus de 14 000 machines iMC en service dans le monde, totalisant plus de 40 millions d'heures de fonctionnement. Cela démontre à quel point le secteur est convaincu de la valeur ajoutée de cette technologie pour les opérateurs et les entreprises.
Les systèmes ont été développés en interne par Komatsu et sont installés en usine lors de l'assemblage, garantissant ainsi que la technologie répond aux mêmes normes de qualité rigoureuses que les machines elles-mêmes.
Au fil des années, Komatsu a accumulé une énorme quantité de données opérationnelles et d’expériences réeles des utilisateurs, ce qui a permis de créer un réseau de support efficace et de peaufiner constamment la technologie. En 2020, cela a abouti au lancement de l'Intelligent Machine Control 2.0, offrant de nombreuses améliorations telles que des godets inclinables et des fonctions automatisées pour les lames de bulldozer. Ces évolutions aident les opérateurs, quel que soit leur niveau d'expérience, à travailler de manière plus productive avec un haut niveau de finition.
La gamme de machines iMC a été systématiquement élargie, et récemment, la technologie est également proposée en tant que solution de rétrofit, permettant ainsi d'équiper des machines conventionnelles, y compris d'autres marques, de la commande intelligente.
Travailler de manière plus efficace signifie également une réduction de la consommation de et donc des émissions plus faibles, contribuant ainsi de manière plus large à la lutte pour l'environnement et le climat. Ainsi la technologie iMC s'inscrit parfaitement dans les objectifs climatiques de Komatsu, notamment une réduction de 50 % des émissions de CO2 d'ici 2030 et la neutralité carbone d'ici 2050.
